Voici les onze premières pages de ce qui va sans doute devenir un nouveau projet :
Le texte de Greenpeace est téléchargeable ici.
Comme contrepoint au texte de Greenpeace, vous pouvez lire l’uchronie
des Ateliers de l’Antémonde, qui se collette avec la question des mondes
multiples et de la conflictualité. Leurs textes sont en ligne ici.
Comme toujours j'ai beaucoup ri et me suis attendri.
RépondreSupprimerQuestion : Cueillerais-tu, Alessandro Pignocchi, là, au 5e dessin , le "Champignon de la fin du monde" ?…! Ohhh ! alors, là, tu te surpasse … + Bon timing !: ça fait vraiment du bien à lire après de nombreuses lectures, conf. en ligne etc autour du 10e anniversaire du 11/3/2011 (avec les inévitables pro-nucléaires négationnistes de tout problème autour du 福島第一原子力発電所事故 = Accident de la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi… ! ). Merci de rappeler les "Zappatistes" ;-) … Bref il serait temps que j'aille faire un tour vers le Vercors, semblerait-t-il… un nouveau "hot spot" de la planète… selon tes indications,là, et de quelques autres…!?!-à défaut d'aller faire un tour vers l' Amazonie équatorienne… ! - Merci de ce partage ! ;-)
RépondreSupprimerCa fait du bien de voir à chaque bulle des questions et des envies qui me tiraillent tous les jours. Vous êtes une source d'inspiration sur ma manière de communiquer mes idées politiques avec ceux qui m'entourent. Merci
RépondreSupprimerMerci pour cette mise en image des problématiques auxquelles mon cerveau se cogne régulièrement... ça fait du bien de vous lire, un vent frais et réconfortant me frôle les joues et j'ai hâte de connaître la suite de cette histoire (sil y en a une). Je vous suis totalement dans vos réflexions. Adhérente à Greenpeace, je souscrit totalement à cette initiative et suis heureuse que l'écologie décoloniale soit abordée... mais cela m'aurait aussi "choquée" de voir ce monde idéalisé si peu ambitieux sur les questions écologiques et sociales (Etats, sécurité...)... mais vous avez remis la compteur à zéro pour repartir sur de bonnes bases et c'est super chouette ! La question n'est pas simple et mérite effectivement un peu de créativité pour développer des imaginaires... mais pitié ! pas avec des drones et des DATAcenters ! Bref. MERCI !
RépondreSupprimer...et en plus, c'est toujours aussi drôle !
SupprimerNous on prends volontiers les datacenters, parce qu'ici, en Islande, et bin... il fait sacrément froid pour un mois d'avril :) surtout que les merles, les oies et les pluviers dorés viennent d'arriver. Même si ils aiment sûrement la fraicheur, pas sûr qu'ils aient envie de se péter le bec sur le sol ou les lacs gelés... et puis si on pouvait faire pousser quelques tomates en extérieur, on serait hypers contents. Ha oui, au fait, t'es toujours le bienvenu chez nous Alessandro, la bise !
RépondreSupprimerQuoique... Avec les 3 volcans en éruption, y'a peut être plus besoin de Datacenters, surtout qu'on en a déjà, mais des écolos hein ! Alimentés à l'eau chaude géothermale, haha. C'est déja ça ! Bon, il faid -9°c et c'est la tempête ( de neige )mais on va aller se ballader quand même : on ne voit pas encore les baleines , mais quelques nuées de sizerins blanchâtres et d'autres de je ne sais quel bruand des plages. Restez bien confinés, soyez prudents, la bise
SupprimerCaro Alessandro,
RépondreSupprimerMi potresti scrivere?
Mi piacerebbe pubblicare una cosa tue.
Fai libri meravigliosi.
A presto, forse. Lidia
Tua...
RépondreSupprimerScusa.
Buongiorno,
Supprimermi puo scrivere a pignocchi@hotmail.fr
grazie!
Merci pour toutes vos bandes dessinées ! J'ai beaucoup apprécié la série du Petit traité d'écologie sauvage et ça fait toujours plaisir de voir les mésanges réapparaître de temps en temps sur lundi matin !
RépondreSupprimerDans cette planche je trouve que tu t'attaques vraiment à une réflexion essentielle mais qu'on a tendance à laisser de côté par facilité : comment imaginer vraiment un futur désirable, qui conserve son caractère utopique mais qui soit réaliste et pas réservé à tout ceux qui sont déjà d'accord entre eux et assez jeunes et militants pour accepter un mode de vie radical. Souvent on risque de se couper de l'une ou de l'autre partie de la population, et d'enlever complétement le côté motivant. Je suis bien curieux de voir comment tu vas avancer là-dessus. Je voulais juste te conseiller le bouquin qui me semble avoir le plus avancé dans les propositions : Voyage en Misarchie, de Emmanuel Dockès.Dans le monde qu'il imagine il y a un cadre commun mais justement de la place pour de nombreux mondes comme tu le souhaites. Après il y a forcément des compromis qui sont trouvés, il y a encore de l'argent, des entreprises, des banques...mais il y a tout de même des ruptures assez fortes. Et s'il ne propose pas les mariages mixtes entre Rastas et SUV il imagine par contre que toutes les familles devraient (obligatoirement?) échanger quelques semaines par an leurs enfants avec une famille au mode de vie le plus différent possible. Est-ce que le monde sera meilleur une fois que les enfants deviendront à la fois rastas et fan de SUV?... Je serais curieux de savoir ce que tu penses de ce bouquin. Celui de Lordon "Vivre sans. Institutions, police, travail, argent" fait avancer la réflexion aussi, mais pas sur le concret, et il ne va pas forcément plaire à ta mésange. Elle pourra toujours allumer des trucs avec.
Merci !
SupprimerJe ne connais pas Voyage en Misarchie, je vais regarder.
Vivre sans est utile en effet, même si son ennemi théorique est un homme de paille. La critique parue dans lundi matin est utile aussi :
https://lundi.am/vivre-sans-trempette-dans-un-verre-d-eau
Bonjour,
RépondreSupprimerJ'ai adoré votre planche, ça fait du bien de rire des siens !
Si je peux me permettre, je vous laisse une invitation pour le prochain séminaire du Collectif Malgré tout:
https://collectifmalgretout.net/2021/05/13/prochaine-seance-du-seminaire-comprendre-et-agir-dans-la-complexite-mercredi-19-mai-a-20h30/
Le séminaire est présenté entre autre par Miguel Benasayag, voici son dernier livre:
https://www.editionsladecouverte.fr/les_nouvelles_figures_de_l_agir-9782348042164
"Le monde est devenu complexe. Ce constat, mille fois énoncé sur le ton de l’évidence, est à ce point partagé que plus personne ne le questionne. Mais en quoi les arbres, les villes, les écosystèmes comme l’ensemble des êtres et des choses qui nous entourent, y compris nous-mêmes, se seraient transformés sous la figure de la complexité ? Pour les auteurs, cette complexité ne relève ni d’un récit ni d’une théorie, mais d’une transformation concrète de nos territoires. Plus qu’une grille de lecture, le devenir complexe du monde désigne de profonds changements matériels dans l’étoffe même de la réalité. Comment se manifeste ce caractère matériel ? Quels défis lance-t-il à l’agir ? Alors qu’émergent partout de nouvelles formes de résistance face la destruction du vivant, c’est à ces questions qu’entend répondre ce livre, pour battre en brèche le sentiment d’impuissance qui menace à tout moment de nous rattraper.
Plutôt que d’appeler au retour de la figure de l’agir cartésien qui se prétend maître et possesseur de la nature, les auteurs proposent de revisiter la phénoménologie en déplaçant le rôle central qu’elle accorde à la conscience vers les corps. Un pas de côté qui se veut également une proposition pour une nouvelle éthique de l’acte, où la question est moins de savoir comment agir que de comprendre quelles seront les nouvelles figures de l’agir.
Un essai engagé et stimulant, explorant les possibilités de renouer avec un agir puissant dans un monde où les phénomènes comme les effets de nos actes sont marqués du sceau de l’incertitude. "
Amicalement
Toujours aussi juste, honnête, tranchant. Bravo !
RépondreSupprimerJe cherche à vous joindre pour vous inviter au théâtre (pour voir Saccage, une pièce dont je vous avais parlé lorsque j'étais en phase d'écriture...). J'ai perdu votre contact mail, alors je vous écris par ici. J'ai tenté via FB, aussi, mais vous ne vous y montrez guère (ce qui se comprend). N'hésitez pas à faire signe !